Etapes lumineuses II VIe à Médine

Bonsoir Stell Annie!
merci de tout coeur.Le fait seulement de lire est encourageant. Commenter en est plus.
J'ai édité.

Superbe une fois de plus Ahmed,


Amicalement

Merci beaucoup Khris!
Sincères salutations!

*Deux sœurs  Maria et Sérine  Bintou Chamoun. Le Prophète prit la première Maria, pour femme ainsi se consolida le lieu entre les deux communautés (Copte et musulmane). Elle lui donna un enfant ‘’Ibrahim’’ qui ne vécut que quelques mois, la deuxième alla à son poète Hassan bnou Thabet.

LXV  La diplomatie II

Les documents portaient un seul point en objet :
Croire en Allah et Mohammed est son Prophète ;
Cela garantirait leur pouvoir sans danger
Et leur autorité serait pleine et parfaite.

Tous les seigneurs n’avaient soutenu le projet
Mais avaient dignement accueilli l’estafette;
Sauf le Perse exprimant son dégout, son rejet,
Déchira le billet. Cette âme insatisfaite  

Expulsa l’envoyé qui rapporta les faits
A l’Elu. Cependant tous les autres, d'effets
Lui firent don de femmes deux, puis une mule.*

Cet accueil chaleureux ne leur a rien coûté.
C’est doux  d’avoir reçu, d’avoir bien écouté !
Ne pourrait-on de leur exemple être l’émule ?

*Deux sœurs  Maria et Sérine  Bintou Chamoun. Le Prophète prit la première Maria, pour femme ainsi se consolida le lieu entre les deux communautés (Copte et musulmane). Elle lui donna un enfant ‘’Ibrahim’’ qui ne vécut que quelques mois, la deuxième alla à son poète Hassan bnou Thabet.

Bonjour et bravo Ahmed pour ta suite !
Bisous.
Annie
 

Bravo pour ton imagination sur la longueur et ta connaissance des mœurs qui alimente le sujet, Ahmed !

Amicalement.

Roger.

Toujours aussi prenant, Ahmed !

Comme il est construit, le vers 2 laisserait croire que "Mohammed" et "son prophète" sont deux personnes distinctes. "Croire en Allah et Mohammed, son seul prophète" ?
v.4 = 14
v.7 : "Seul le Perse" (en terminant le vers précédent par un point-virgule
v. 11/12 "À l'Élu. Cependant, tous les autres, d'effets
Firent don, ainsi que de femmes, d'une mule"

Avec toute mon amitié.

Merci beaucoup Annie, Roger, Stell vos commentaires m'encouragent. Merci du soutien!
J'ai corrigé mais ne sais si c'est compréhensible.

Bonjour Ahmed, pour la compréhension, c'est bon ; par contre, la césure du vers 8 n'est pas bonne

Avec toute mon amitié.

Bravo Ahmed, c'est toujours aussi lumineux,


Amicalement

Merci bien Khris! Stell, tu veux dire la césure du vers 11, j'ai repris ton idée j'aurais aimé  dans
''ainsi que de femmes, d'une mule.""
""ainsi que deux femmes, une mule"" mais je ne sais pas.

Bonjour Ahmed,

Proposition pour ton vers :

Firent don ainsi que de femmes, d'une mule.*  (Lui firent don, de femmes deux, puis une mule.)

Amicalement

Merci Khris! Tu es bien arrivé j'ai édité.

LXVI Le petit pèlerinage compensateur I

L'interdit supprimé, lors, et l’Elu  retourna
A la Mecque pour  un petit pèlerinage.
L’habit de l’inspiré, le suivant se borna    
Uniquement à deux morceaux de blanc lainage,    

Couvrant le tronc comme les reins. L'on discerna  
Une foule scandant, traversant un village
Portant l’habit de paix. Sa vertu consterna
 Ses âmes qui croyaient  voir tout  sur son sillage

Repeint avant de voir que c’étaient  des pieux
Qui répétaient  en chœur, sans être furieux,
Des phrases et des vœux conformément au rite.*

Les habitants restaient abasourdis devant
La parade jamais perçue auparavant
A son leader revint donc le plus grand mérite.

*L’homme pèlerin  couvre son tronc d’un morceau de tissu blanc et d’un deuxième, le bas du bassin jusqu’aux genoux le long du rite. Il ne cesse de répéter à haute voix, depuis le lieu réglementé où il a changé ses habits : « Me voilà ! Ô Allah me voilà ! Me voilà ! Aucun associé à Toi ! Me voilà ! La louange et la grâce à Toi et le règne ! Aucun associé à toi ! » Traduction approximative.

Et la saga se continue, toujours aussi passionnante...

v.1, le "et" n'a pas sa place ici. "L'interdit fut levé, lors, l'Élu retourna" ?
v.5, "Couvrant le tronc comme les reins. L'on discerna" ?
v.7 : "Sa vertu consterna" ?

Avec toute mon amitié.

Bonjour à tous et merci Ahmed pour les explications !
Bravo aussi car je vois que tu avances à très grands pas ... Je stagne quant à moi mais ça reviendra !
Bisous.
Annie
 

Bravo Ahmed, encore une belle oeuvre,


S’effacer avant de voir /7/ que c’étaient  des pi_eux /6/ 13 syll, "Repeint avant de voir"


Amicalement

Tu vas pouvoir faire un recueil complet sur le sujet, Ahmed ! Encore bravo pour le souffle qui ne faiblit pas !

Amicalement.

Roger.

Merci infiniment mes amis! Si j'avance c'est grâce à vous, à vos commentaires, à votre soutien. Et si je vous propose mes écrits c'est pour que vous m'aidiez à la bonne rédaction.
J'ai corrigé. Merci.

LXVII Le petit pèlerinage compensateur. II

Deux mille pèlerins l’avaient accompagné
En sus des femmes et des enfants en bas âge.
Tous ceux restés vivants auxquels, fut consigné
Le culte  à la Ka’ba furent de l’équipage.

Ils étaient armés mais ils avaient épargné
Aux sabres de sortir de leur étroite cage.
Sentant que le potin a certains cœurs, gagné,
Le Prophète prescrit aux croyants du courage :

De découvrir l’épaule  et de presser le pas,
Les trois premiers tours, montrant qu’ils n’étaient pas
Affaiblis dénigrant la triste  médisance.

Par contre, ils étaient frais, toujours  prêts à lutter
Si Koreich  hasardait à les persécuter
Cette allure était  pour quelques-uns Bienfaisance.

LXVIII Le petit pèlerinage compensateur. III

D’éminents combattants ont bien changé de camp :
Othman*,  Khaled,* Amrou*, leur culte abandonnèrent
Rite clos, L’Envoyé laissa le lieu vacant.
Ses épousailles à Mimouna** n’ajournèrent  

Le départ. ; il a promis et par conséquent
Lui puis tous les croyants pèlerins  s’inclinèrent
Devant l’engagement. Mais, précisément quand
Ils partaient, des appels :-« Mon oncle… ! Oncle », attirèrent

L’attention : une femme a bien décidé
De les accompagner : n’a pu consolider
Des liens très loin des siens et  du lieu de  son père

Trois de ses proches***francs  voulurent l’adopter.
Le Prophète conclut : il venait par opter :
-«La tutelle appartient à la sœur de la mère ! »

*Othman bnou Talha (Lors de la victoire de la Mecque il reçut la clé de la Ka’ba des mains du Prophète : il était son portier), Khaled bnou el Walid (auteur de la victoire Koreich à Ouhoud) Amrou bnou el Asse (Emissaire de Koreich à Négus pour rapatrier les premiers émigrés musulmans de l’Abyssinie à la Mecque)
**Mimouna Bintou El Harith.
*** Chacun des trois hommes a voulu adopter Oumama :
-1- Ali la prit par le bras disant à sa femme Fatima la fille du Prophète :-« Prends soin de la fille de ton oncle paternel ! »
-2-Djafar s’opposa : -«  Elle me revient de droit ! Je suis son oncle et ma femme est sa tante ! »
-3-Zaid :-« Non ! Elle est à moi ! C’est ma nièce ! » *Zaid bnou el Haritha frère de Hamza (alliance fraternelle entre Ansar et Mouhadjirine)
Ainsi la fille a repris sa dignité dans l’Islam et la tante est légalement la mère adoptive de sa nièce.

Toujours magnifique, Ahmed !

LXVII
v.10 = 11 ("premiers" est en synérèse)
v.13, "s'hasardait"
LXVIII
Plusieurs vers mal césurés
Dernier vers : on opte de quelque chose et non par quelque chose

Avec toute mon amitié.

Bonjour Ahmed,
Une saga que je n'imaginais pas !
Bravo et mes bisous.
Annie
 

Encore deux magnifiques sonnets Ahmed, bravo,

LXVIII
Le Prophète avisa pour le bon choix opter :

Amicalement

Merci infiniment mes amis Annie, Stell Khris. J'ai refait essayant d'être compréhensible. Que pensez-vous?

LXVII Le petit pèlerinage compensateur. II

Deux mille pèlerins l’avaient accompagné
En sus des femmes et des enfants en bas âge.
Tous ceux restés vivants auxquels, fut consigné
Le culte  à la Ka’ba furent de l’équipage.

Ils étaient armés mais ils avaient épargné
Aux sabres de sortir de leur étroite cage.
Sentant que le potin a certains cœurs, gagné,
Le Prophète prescrit aux croyants du courage :

De découvrir l’épaule  et de presser le pas,
Les tout trois premiers tours, montrant qu’ils n’étaient pas
Affaiblis dénigrant la triste  médisance.

Par contre, ils étaient frais, toujours  prêts à lutter
Si Koreich s’ hasardait à les persécuter.
Cette allure était  pour quelques-uns Bienfaisance.

LXVIII Le petit pèlerinage compensateur. III

D’éminents combattants ont bien changé de camp :
Othman*,  Khaled,* Amrou*, leur culte abandonnèrent
Rite clos, L’Envoyé laissa le lieu vacant.
Ses épousailles à Mimouna** n’ajournèrent  

Le départ  qu’il avait conclu. Par conséquent,  
Tous les croyants hadjis, de plein cœur, s’inclinèrent
Devant l’engagement. Mais, précisément quand
Ils partaient, des appels :-« Mon oncle… ! Oncle », sonnèrent.

C’était Oumama que Koreich n’a pu dompter,
Décidée à se rendre à Médine affronter
Son avenir, près de la tombe de son père .

Trois de ses proches***francs  voulurent l’adopter.
Parmi ces vœux, L’Elu fut bien contraint d’opter.
La tante aura l’enfant, étant sœur de sa mère.

*Othman bnou Talha (Lors de la victoire de la Mecque il reçut la clé de la Ka’ba des mains du Prophète : il était son portier), Khaled bnou el Walid (auteur de la victoire Koreich à Ouhoud) Amrou bnou el Asse (Emissaire de Koreich à Négus pour rapatrier les premiers émigrés musulmans de l’Abyssinie à la Mecque)
**Mimouna Bintou El Harith.
*** Chacun des trois hommes a voulu adopter Oumama ( la fille de Hamza tué dans la bataille d’ Ouhoud) :
-1- Ali la prit par le bras disant à sa femme Fatima la fille du Prophète :-« Prends soin de la fille de ton oncle paternel ! »
-2-Djafar s’opposa : -«  Elle me revient de droit ! Je suis son oncle et ma femme est sa tante ! »
-3-Zaid :-« Non ! Elle est à moi ! C’est ma nièce ! » *Zaid bnou el Haritha frère de Hamza (alliance fraternelle entre Ansar et Mouhadjirine)
Ainsi la fille a repris sa dignité dans l’Islam et la tante est légalement la mère adoptive de sa nièce.