Ce Grand si vil.
Qu’arrive-t-il au beau monde civilisé ?
Perdant toujours, de ses valeurs, il se dégrade
En voulant simplement vivre le temps maussade
Quand il vivait comme animal, l’ongle aiguisé.
Comment s’est-il mué, tombant si vil, l’aisé ?
Sans différend, moralement, il rétrograde :
En noce tout à fait… légale, un gay parade
Refusant de fumer le champ bien précisé
Au nom des Libertés, le nu se meut sans gêne.
Sein bien au clair ! Nombril criant ! Femen dégaine
De son fourreau soyeux, son arme de combat.
Après avoir de l’animal, porté la corne,
Au costume d’Adam, ou bien d’Eve il se borne
Imaginez-le ou la, président d'un débat !
Absorbé par les siens voulant la Liberté,
Il n’est point concerné par le fait qui se passe
Dans le Sud ou dans l’Est, là l’être humain s’efface
D’une bombe, d’un tir ou le corps écourté.
Du serment ‘’Parité’’, il s’est bien écarté.
il n’ose regarder sa mise à mort en face
On vote’ Oui’ mais le ‘Non ‘ appréhende sa place.
Que peut bien faire un corps en joue avec fierté.
Tout comme l’animal, limitant son domaine
Promettant à l’intrus de lui faire une scène.
« Battez-vous ! Mangez-vous, mais restez au foyer ! »
Pourtant le Grand calma les nerfs ; larguant sa force
Sauva des citoyens en train de se noyer
Mais maintenant aux opprimés signe un divorce.